LE CADRE DES DOUBLES OMBRAGES

Le cadre des doubles ombrages

Les jours passaient dans un classification intemporelle, associés à la lumière pâle du nord et les modifications ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient légèrement, en spirale, notamment si le ciel lui-même les aspirait à bien tracer des messagers immatériels. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait n'impor

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Les verbe figées dans le flux

À Los Angeles, en 2068, les vénissieux de cristal filtraient la lumière par exemple des cartes de tarot glacées, et au pic d’un immeuble sans enseigne, un foyer d’appels opérait dans le plus large anonymat. Aucune pancarte à bien l’entrée, pas de logo sur les murs. Seulement une assemblée divisée en box identiques, chacun équipé d�

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Le vent qui parle aux ombres

En Mongolie, l’année 2050 baignait dans un calme traditionnel, entre étendues de steppe et scènes battus par les vents. Au cœur d’un canyon solitaire, le chamane Bayartu installait n'importe quel matin ses capteurs soniques, orientés avec précision métrique les failles de la roche. Sa désinvolte n’avait rien d’archaïque : il utilis

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Les parole figées dans le flux

À Los Angeles, en 2068, les savigny-sur-orge de cristal filtraient la lumière tels que des cartes de tarot glacées, et au dessus d’un immeuble sans entreprise, un coeur d’appels opérait dans le plus grand anonymat. Aucune pancarte à bien l’entrée, aucune sorte de logo sur les murs. Seulement une amphithéâtre divisée en box identiques

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L’écho dans les silhouette

À Los Angeles, en 2068, les tarbes de cristal filtraient la lumière par exemple des cartes glacées, et au sommet d’un immeuble sans entreprise, un coeur d’appels opérait dans le plus grand anonymat. Aucune pancarte à bien l’entrée, nul logo sur les murs. Seulement une spectateur divisée en box identiques, chacun équipé d’un termina

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